Marie Christine Barrault Taille – À 66 ans, Marie-Christine Barrault a décidé de mettre par écrit l’histoire de sa vie. L’actrice détaille sa carrière d’actrice (qui n’a pas été encouragée par son oncle Jean-Louis Barrault et sa tante Madeleine Renaud) et sa vie de femme passionnée et ses histoires d’amour dans son prochain livre, Ce long chemin pour arriver jusqu’à toi. (XO Éditions, 25 octobre).
Le mercredi 20 octobre, les bonnes pages de ce livre chargé d’émotion – dans lequel les lecteurs seront initiés à un musicien sensible aux réalités de la vie – seront publiées dans l’édition kiosque du magazine Gala.
Dans une interview, elle a évoqué la réaction de sa mère face à son désir de devenir comédienne, précisant qu’elle a été élevée par sa grand-mère Félicité et son frère Alain. Son oncle Jean-Louis Barrault l’avait poussé dans ce sens : « Que veux-tu faire dans ce métier, ma pauvre fille ? Il suffit de te regarder pour voir que tu es aussi faite pour la scène que moi. être notaire. »
Elle évoque dans cette autobiographie l’histoire d’amour qu’elle a partagée avec le flamme Roger Vadim, qu’elle a rencontré alors qu’elle avait 45 ans, et dont la carrière s’est étendue sur près d’une cinquantaine de longs métrages et autant de productions théâtrales. à la lumière d’une adoration que je n’avais jamais connue auparavant. Je ne sais pas quel genre d’affaire Vadim a pu conclure avec le fleuriste de l’île de Saint Louis au printemps 1989, mais il ne se passe pas un jour sans qu’un bouquet ne me soit offert, posé sur la table du petit déjeuner , ou
L’actrice, qui était auparavant mariée à Daniel Toscan du Plantier, évoque courageusement les derniers jours qu’elle a passés avec son deuxième mari, décédé d’un cancer en 2000. J’emménage avec lui et j’installe une réplique de notre chambre dans sa chambre d’hôpital, complet avec nos propres lits, un bureau, des canapés et des oreillers colorés, un lecteur de CD et des photos sur les murs.
La mère de deux enfants (Ariane et David) révèle exactement quand ses propres enfants (Nathalie, Christian, Vanessa et Vania) étaient à leurs côtés alors que la cinéaste approchait de la fin de sa vie. Ses quatre épouses précédentes, toutes mères. «
Brigitte Bardot, qui a tellement peur de la mort, ne vient pas, mais elle envoie une flopée de fax pour lui exprimer son amour et combien elle pense à lui. Jane Fonda voyage de Los Angeles et reste avec nous dix jours. » Catherine Deneuve se présente avec une théière en forme de cœur, son regard est un peu perdu, mais elle sait contrôler ses émotions et est très discrète, ce qui me touche.
Le numéro de cette semaine du magazine Ici Paris revisite également un extrait du livre dans lequel Marie-Christine Barrault évoque son combat contre le cancer. Barrault a perdu sept proches à cause de la maladie en trois ans. En 2004, après une mammographie de routine, elle a appris la mauvaise nouvelle. À la lecture du jugement, elle réfléchit à son amour perdu depuis longtemps: “J’allais suivre le même chemin que le sien, mettant mys pas dans les siens, et cela a rempli mon cœur et mon esprit d’un lourd contentement.”
Elle y a fait face courageusement, travaillant furieusement à son travail jusqu’à ce qu’elle abandonne finalement et se fasse opérer tard dans la nuit, n’avertissant personne d’autre que ses enfants. Une réponse qui l’a aidé à vaincre le cancer du sein et à vivre pour raconter son histoire et rendre hommage à ses partisans d’hier et d’aujourd’hui.
Vous pouvez vous procurer un exemplaire du numéro de kiosque d’aujourd’hui du magazine Gala pour tout lire sur la fin heureuse de This Long Way to Get to You. Après avoir donné une lecture à Pont-l’Évêque dans le cadre de la 17e édition des Rencontres d’été théâtre & conférence de Normandie, l’humoriste au parcours varié a fait escale à Trouville-sur-Mer.
Quelle plage préférez-vous, Deauville ou Trouville ?
En l’état, Trouville est l’endroit qui m’intrigue le plus. Cela semble être une destination toute l’année. J’ai l’impression que Deauville est un peu une mêlée touristique. Au moins, il y a un sens de la réalité ici. Quel livre avez-vous endormi hier soir ?
Je me suis endormi la nuit dernière en travaillant sur un sudoku (rires). Je viens à l’instant de terminer une lecture complètement insensée sur André Gide et le cahier d’une petite dame nommée Maria van Rysselberghe, et cela m’a causé des ennuis sans fin alors que j’essayais d’écrire mon essai. J’ai travaillé si dur sur cette histoire extraordinaire que hier soir je n’étais plus capable de lire quoi que ce soit.
De quoi ne pouvez-vous absolument pas vous passer une journée ?
Un morceau de papier, un crayon et mon téléphone. Pourtant, un téléphone n’est pas qu’une chose; c’est un moyen pour une fin. Je me déplace en ville en utilisant des crayons de papier, des crayons géants et des oursons en gélatine.
Quel genre de lien émotionnel avez-vous avec votre réveil ?
Tout d’abord, ce n’est pas moi qui me réveille, c’est mon téléphone. Et la plupart des matins, je me réveille seul sans aucun problème. En fait, je me réveille souvent avant que mon réveil ne sonne, même si c’est tôt le matin.
Ce qui te manque…
En effet, il y en a beaucoup. Quelque chose me manque, peut-être ? Je vous demande pardon! Je suis une personne vraiment impatiente. Une fois que je me suis décidé sur quelque chose, il faut le faire immédiatement. C’est un challenge pour le personnel car il y a toujours le “Mais comment se fait-il que ce n’est pas déjà fait ?! ?”.
Qu’auriez-vous dit si vous étiez Neil Armstrong et que vous mettiez un pied sur la lune ? Pourquoi s’est-il répété ? Il devait donc s’y préparer très tôt ! (rires). Il serait également utile de me donner un peu de temps. J’aurais fait un Wahou ! Personne ne pose le pied sur la lune comme il le ferait sur les rivages de Trouville.
Pour quelle personne célèbre avez-vous le plus de coordonnées ?
Quel numéro de téléphone ai-je dans mon carnet d’adresses, mais que je n’appelle jamais ? Philippe Edouard. Mais je ne l’ai jamais appelée !
Qu’est-ce que les autres disent de vous que vous n’aimez pas ?
Retournons-le; s’il y a une chose que je veux que les gens sachent sur moi, c’est que je me donne à fond dans mon travail. Il est juste de dire que je lui ai consacré toute ma vie, donc je préfère que personne ne soit confondu avec un amateur.
Avez-vous déjà fait un rêve fou ?
Voyage en Antarctique. Avec Vadim, on en attendait autant. Je me vois soudain entouré de glace et de la lumière froide et brillante qui doit imprégner cette région.
Quel terme tendance préférez-vous ?
Voilà. Vous savez, quand les gens ne savent pas comment commencer une phrase, ils disent parfois “tel et tel”. Je ne supporte pas d’entendre “tout à coup” tous les trois mots à la radio ou à la télévision.
La ville que j’appelle chez moi est Paris. Voici la vue que je vois de mon appartement : les Tuileries, la Concorde et tout Paris. J’apprécie vraiment cela. A l’école, alors qu’elle interprète “L’Annonce faite à Marie” de Claudel, elle trouve sa vocation. Elle débute sa carrière au théâtre alors qu’elle n’a que 20 ans. Elle a des petits rôles à la télé et a même un rôle récurrent dans Les Copains d’Yves Robert. Pourtant, ce n’est qu’en 1975 Cousin, Cousine que le monde a bien vu ses capacités.
La célèbre comédienne Marie-Christine Barrault fera un spectacle musical et littéraire à La Charité-sur-Tannerie Loire le 27 mai avec le pianiste Franck Ciup. La comédienne a proposé une lecture musicale de La Peste d’Albert Camus avec le pianiste Franck Ciup. Cette passionnée de littérature nous a accordé une interview avant son voyage dans la Nièvre ; le ton de sa voix était chaleureux et plein d’enthousiasme.
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