Céline Dumerc Et Sa Compagne Pauline – Pauline Lithard ramasse le panier à l’âge de six ans dans sa maison de Kaysersberg. Elle évolue au Centre de Formation de Bourges3 de 2010 à 2012, où elle a pu évoluer aux côtés de basketteuses françaises comme Céline Dumerc.
En 2012, elle a signé avec l’équipe féminine de Reims Basket de Ligue 2, où malgré les chiffres de tir décevants du club de Champaign, elle s’est montrée très prometteuse en tant que défenseur. Elle espère en savoir plus sur l’élite dès que possible.
À l’été 2013, elle et l’équipe de France des moins de 19 ans remportent le championnat du monde et une médaille d’argent. À l’été 2014, il s’apprête à se rendre en Italie avec l’équipe de France des moins de 20 ans pour le Championnat d’ Europe, mais une blessure au doigt l’en a empêché.
Elle rejoint les Flammes Carolo en tant que remplaçante d’Amel Bouderra en LFB en fin de saison. Pauline est une joueuse qui a été mentionnée comme l’un des futurs talents français, selon son entraîneur Romuald Yernaux. Elle a un excellent champ de tir et une excellente vision du court.
En mai 2016, elle revient dans le Finistère après avoir pris contact avec l’équipe du Landerneau Bretagne Basket par manque de temps de jeu dans les Ardennes. Elle se voit offrir un nouveau rôle stimulant avec des responsabilités accrues dans un département qu’elle connaît déjà.
Lors de la saison 2016-17, elle a excellé en jouant pour le Landerneau Bretagne Basket. Elle a été élue meilleure capitaine de la ligue LF2 après une moyenne de 12,8 points par match et le match le plus marqué de la saison avec 31 points à Arras. Son équipe fera partie des dix finalistes des éliminatoires de la LF2.
La saison 2017-2018 sera une autre saison gagnante pour le gardien. Son équipe remporte le championnat et monte au LFB après avoir battu Angers en finale. Son année sera rythmée par sa nomination comme capitaine de l’équipe de France.
Landerneau quittera le club après trois saisons en Bretagne6 si elle ne parvient pas à assurer une deuxième saison en LFB. Elle jouera en défense avec Charnay en 2019/2020. Lors des huit premiers matchs de la saison 2020-2021, elle a récolté en moyenne 8,5 points, 3,8 passes décisives et 1,9 interceptions, provoquant une réponse de Saint-Amand en décembre de la même année.
Le test vestibulaire
L’ancienne capitaine de l’équipe de France de basket, Céline Dumerc, a regretté que “certaines filles aient eu peur de prendre la douche avec nous”. Je ne regarde pas toutes les dames. On entend le vice-champion olympique, qui sort avec une femme nommée Pauline, dire : “Je suis dans un vestiaire, et tout ce que je veux, c’est gagner.”
la pression d’un vestiaire avec des gens qui remettent en question leur sexualité.” La championne de l’espionnage affirme que sa colocataire Julie lui a appris qu'”on peut être heureux dans la vie”.
Le test vestibulaire
L’ancienne capitaine de l’équipe de France de basket, Céline Dumerc, a regretté que “certaines filles aient eu peur de prendre la douche avec nous”. Je ne regarde pas toutes les dames. On entend le vice-champion olympique, qui sort avec une femme nommée Pauline, dire : “Je suis dans un vestiaire, et tout ce que je veux, c’est gagner.”
la pression d’un vestiaire avec des gens qui remettent en question leur sexualité.” La championne de l’espionnage affirme que sa colocataire Julie lui a appris qu'”on peut être heureux dans la vie”.Selon le rugbyman Jérémy Clamy-Edroux, les vestiaires et le temps de douche sont deux des caractéristiques les plus appréciées des sportifs.
Comment les autres nous voient
L’artiste et patineur Kevin Aymoz a eu une enfance traumatisante et a été expulsé à deux reprises pour “ne pas pouvoir soutenir le regard des autres”. Le quadruple champion de France a révélé aux caméras d’Arnaud Bonnin et de Lyes Houhou, “L’homosexualité hantait mes idées, j’essayais de ne pas être trop maniéré”.
L’ancien nageur américain Jérémy Stravius a caché son homosexualité par souci pour ses relations de natation professionnelle. Je pensais que peut-être certaines personnes diraient : « Nous sommes dans le vestiaire et il est sur le point de me mater. Jérémy Stravius, qui entretient une relation engagée depuis huit ans, estime que chacun a le droit d’espérer être accepté tel qu’il est, même si “le chemin ne fait qu’un début”.
La judoka Amandine Buchard a longtemps caché sa sexualité, disant seulement qu’elle avait “un copain”, mais elle est sortie publiquement il y a trois ans dans les pages du journal parisien.Sandrine Gruda a mon adoration éternelle. Solide comme des clous, elle obtient toujours ce qu’elle veut. J’apprécie aussi l’image mentale que cela évoque, sur et en dehors du terrain.
J’aurais pu également mentionner Laia Palau, qui n’est plus dans l’œil du public.Je ferai une référence à Céline Dumerc. J’étais une grande fan d’elle quand j’étais enfant. On m’a donné son maillot et son numéro neuf quand elle a rejoué à Bourges.
Il y a Sara Roumy, avec qui j’ai beaucoup joué enfant et qui est aujourd’hui étudiante à l’Insep. Nous avons traversé beaucoup de choses ensemble; après tout, nous étions dans la même équipe de France U16. Je suis proche de beaucoup de filles du centre de formation de Bourges Basket, comme Eva et Mayé Touré (qui a quitté l’équipe à l’intersaison, NDLR).
J’ai donc choisi le numéro 18 car c’est avec ce numéro de maillot que j’ai disputé mes premiers matchs professionnels en LFB et en Euroligue la saison dernière. J’ai eu.Parce que c’était tellement nouveau et que je me sentais comme une petite fille, je mentionnerai la salle de concert d’Ekaterinbourg. Même les présentations de l’équipe étaient impressionnantes. Et il y avait suffisamment d’audience pour que cela ait un impact.
J’ai raté l’action du Quai de l’Adour l’an dernier avec l’équipe pro car j’étais occupé avec deux matchs du week-end pour la NF2. Je me référerai donc à Tarbes.D’ailleurs, ma mère aussi était joueuse. Tarbaise, 20 ans, qui a été désignée meilleure jeune joueuse de la LFB la saison dernière, a remporté le championnat de France et l’Eurocoupe avec Bourges, et rêve aujourd’hui de disputer les Jeux olympiques d’été de 2024. à Paris.
En position 1, je commencerai l’Eurocup. Le point culminant de la représentation était à couper le souffle et le cadre du Prado était tout simplement magique. C’est le titre national français à deux ans.Je l’ai presque oublié ! Comme mes proches étaient aussi dans la salle, l’ambiance était particulièrement chargée. Très bien, je vais le mettre au numéro quatre…
Il y a eu aussi la défaite en finale de la Coupe de France à l’Accor Aréna, qui s’est soldée par deux prolongations. J’anticipais un peu la Coupe du monde. J’ai eu une blessure à la cheville deux jours avant l’annonce ; J’avais bon espoir, mais je ne me suis pas trop laissé emporter.
Comme tu l’as dit, “j’étais comme une petite fille qui arrive dans une confiserie” quand tu as été sélectionnée pour la première fois à Marseille.C’est ce sentiment qui m’a poussé à revenir dans l’équipe. Tous les noms des joueuses m’étaient familiers, mais je ne connaissais aucune des joueuses de nom (à l’exception de Sarah Michel et Alix Duchet, que je suivais avec une grande attention).
Ma première sélection à Marseille a été une expérience mémorable car nous avons gagné largement (87-52) et j’ai marqué 6 points. Et bien sûr, le match à Pau. Tous ceux que j’aime étaient là, et ça m’a pas mal ému de chanter la Marseillaise dans un endroit que je connais. Mais si je dois retenir un souvenir en particulier, c’est la chance qui m’a conduit à ces choix.
Depuis le départ à la retraite de Céline Dumerc en 2017, le rôle de meneuse en équipe de France est partagé entre plusieurs joueuses. Cet été dernier a été consacré à apprendre à la connaître, et j’ai beaucoup appris.
Nous n’avions jamais eu la chance de faire notre coming-out auparavant. Beaucoup le font malgré la qualité inégalée de notre palmarès. Je comprends que vous essayez de vous rapprocher les uns des autres. Mais je ne fais que commencer…Je tire beaucoup d’énergie de la rivalité.
Il y a beaucoup de personnes différentes qui aimeraient se remettre en lice pour le rôle de meneuse.Jusqu’à cet été, je ne m’attendais pas à être en mesure de me poser cette question, mais il est vrai qu’après avoir goûté à ses délices, on a tendance à fantasmer un peu plus. J’aime que le défi de rivaliser avec les autres soit excitant, mais je me fais un devoir de maintenir mon individualité et de jouer comme je sais le faire sans me remettre en question.
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