Anthony Jelonch Copine – Le natif de Vic-Fezensac, qui a été éclipsé par Ollivon, Alldritt, Cros ou encore Crétin en temps normal, a une carte à jouer pour briser la hiérarchie. “Il ne faut pas qu’il se mette trop de pression”, estime Magne, ancien membre de la troisième corde des Chemises bleues (sur 90 choix possibles). Ce voyage est l’occasion idéale de consolider votre position de chef d’équipe et de découvrir des talents cachés en tant que capitaine.
C’est vraiment polyvalent
En troisième ligne, Anthony Jelonch pourrait jouer aux positions 6, 7 et 8. Cette saison, lui et son équipe ont penché vers le côté « ouvert ». Galthié l’a porté sur le terrain fermé de l’équipe de France lors du dernier Championnat des Six Nations ; le capitaine Charles Ollivon portait le numéro sept.
C’est un garçon intelligent, capable de faire les bons choix sur le plan tactique, affirme Olivier Magne avec justesse. Il est stable et accélère rapidement, ce qui est une belle combinaison. Cela signifie qu’il joue parfaitement au milieu de la troisième ligne. Mais cela vaut également la peine de le mettre en position sept afin que sa force puisse être déployée sur le côté droit du corps à corps. Mercredi contre l’Australie, c’est lui qui jouera ce rôle.
Un phénomène naturel
Anthony Jelonch a grandi dans la ferme familiale du Gers, où il est né. En fait, une fois les crampons resserrés, il pourrait peut-être la reprendre. Il a effectué le travail académique requis pour y parvenir. Le Castrais est resté dévoué au théâtre de ses premières victoires en rugby. “C’est un natif de ce terroir”, a déclaré l’actuel entraîneur de Colomiers (Pro D2) Julien Sarraute. Il a été élevé avec ce que l’on peut appeler les « valeurs du pays ».
LIRE EN AUSSI ! Royaume de France au XVe siècle. Jelonch estime que l’équipe de France peut « titiller » les meilleures nations du monde avec un effectif médiocre. Dans ce contexte, il a développé une rugosité et une force anormales. Selon Sarraute, son corps « hors du commun » est le résultat de son éducation et de son éducation agricole.
C’est un phénomène naturel. Il n’avait pas besoin de creuser un puits pour cela. C’est quelque chose qu’il a perfectionné aux côtés de son père en coupant du bois et en montant à cheval. Anthony Jelonch excelle non seulement dans les rucks, mais aussi avec le ballon dans les mains. Cela lui donne effectivement une troisième ligne complète.
Il a travaillé aux côtés d’Antoine Dupont.
Il a été un membre clé du système de jeunesse du FC Auch et a joué avec Pierre Bourgarit, Gregory Alldritt et Antoine Dupont pendant leur âge d’or. Depuis, son amitié avec cette personne est indestructible. Ils ont quitté le Gers en 2014 pour s’installer dans la région Castres Olympique. Pendant un certain temps, ils sont même devenus des colons.
Ils partagent un amour inconditionnel pour le sport et les valeurs de travail d’équipe et de camaraderie qu’il représente, comme le souligne Julien Sarraute. Ils se souvenaient toujours que jouer au rugby était la chose la plus essentielle, pas les autres distractions. Ils ne sont pas énormes, mais ces deux-là sont définitivement de beaux mecs.
La saison prochaine, les deux annonceurs se reverront au Stade Toulousain. La décision de Jelonch de signer avec le champion de France pour le titre a probablement été influencée par la division des poids demi-moyens.
Il se rend au Stade de Toulouse.
Après sept années passées au Castres Olympique, Anthony Jelonch a décidé de s’engager en faveur du Stade Toulousain. Il est désormais double champion d’Europe et de France. Il a remporté le Bouclier de Brennus 2018 avec le CO. Un choix raisonné et logique selon Olivier Magne.
Je pense que tout le monde va voir son talent et ses qualités. C’est une évidence qu’il visite le Stade Toulousain. Jouer Rouge et Noir l’aidera à s’améliorer en tant que joueur de rugby et lui permettra d’atteindre le niveau supérieur. De plus, il retrouvera plusieurs visages familiers du terrain (dont Antoine Dupont et François Cros).
Le rugby. Quand Antoine Dupont avait 15 ans, Anthony Jelonch disait de lui : « Il avait déjà d’énormes qualités ». Anthony Jelonch, flanker international de Toulouse, a répondu avec émotion à la candidature de son ami Antoine Dupont au titre de meilleur joueur du monde.
Il a été désigné vendredi 10 décembre par World Rugby pour le prix du meilleur joueur du monde 2021. Antoine Dupont, demi-arrière de l’équipe de France basée à Toulouse, deviendrait seulement le troisième Français à remporter ce prix, après Fabien. Galthié et Thierry Dusautoir.
Il va de soi qu’il remporterait le prix. Je ne vois pas comment il pourrait en être autrement”, avoue Romain Ntamack, équipier de la charnière toulousaine et tricolore. Mais sûrement son équipier de toujours Anthony Jelonch, qui a joué à ses côtés dès sa jeunesse à Auch jusqu’en sélection en Marcoussis et ses années de club à Castres et Toulouse, est le mieux placé pour évoquer l’ascension fulgurante d’Antoine Dupont. Depuis, il accepte de jeter son regard sur son plus proche ami et collègue.
Nous avons une amitié extrêmement étroite les uns avec les autres. Nos familles sont également assez proches. Je le connais depuis 15 ans, lorsque nous fréquentions tous les deux le même lycée à Auch. Après avoir concouru pendant deux ans avec le FCA, lui et son coéquipier s’installent à Castres pendant trois ans (2014-2017) avant de retrouver le Stade Toulousain. “A cette époque, je n’étais pas prêt à changer de club moi-même, mais nous sommes restés en contact”, explique Jelonch.
C’est une amitié profonde et durable entre nous. Nos deux familles sont assez proches. Lui qui a si longtemps occupé le lit de Dupont, à Auch, au Bleu (colocataire de Marcoussis), à Castres, et même en ce début de saison à Toulouse, 2021-2022, dit avec insistance : « J’espère pour lui qu’il sera nommé meilleur joueur du monde.”
Selon Jelonch, “Il n’a pas changé du tout et à 25 ans, il est meilleur qu’à 15 ans”. C’est dans cette optique qu’Anthony Jelonch, originaire du Vicois, a vu son meilleur ami, destiné à devenir le joueur d’exception qu’il est aujourd’hui, s’imposer au plus haut niveau du jeu au cours de la dernière décennie.
C’était la même chose qu’aujourd’hui, et c’était déjà un joueur exceptionnel», dit l’international de troisième ligne, avant de poursuivre : C’est donc un exemple. Les gens le considèrent comme un leader et un capitaine, et ils veulent le suivre partout où il va en raison de ses performances. Il nous incite à nous efforcer de lui ressembler davantage, ce qui pousse l’équipe à s’améliorer chaque week-end qui passe.
En dehors des terrains, Antoine Dupont est resté le même : un jeune homme bien élevé qui fait preuve d’une grande modestie et discrétion. Son ancien maître colonial, Jelonch, dit avec ironie : “Oui, il n’a vraiment pas changé !”
Et il a du mal à y trouver lui-même des défauts. Quels sont les défauts ? Oui, il doit en avoir, comme tout le monde… Mais bon, on peut quand même assez bien se comprendre, alors je vais accepter. Cela ne changerait pas grand-chose si nous vivions ensemble au quotidien.
Une végétation luxuriante, des vignes, des moutons, des forêts, des étangs et les Pyrénées au loin. Jusqu’à ce que ses prouesses athlétiques lui permettent de voir « du country », Anthony était un membre titulaire de cette communauté postale urbaine. Fort d’un fort attachement aux valeurs rurales, le plus jeune enfant de la famille est bien préparé à affronter les hauts et les bas de la vie.
En grandissant dans cet environnement, le « pitchoun » (1,95 m aujourd’hui) apprend qu’il ne faut jamais abandonner, même s’il est tombé à terre. Au lieu de cela, il devrait se relever, aider son prochain, continuer à se battre et finalement triompher. Le travail acharné de l’agriculteur, quels que soient les progrès technologiques, améliore son « physique » grâce à un travail agricole sale et laborieux.
Le pontife de 58 ans qui porte ces messages déclare : “Dans la vie, sans ces valeurs terrestres, vous n’avez rien”. Ainsi, Anthony ne les frappe pas avec une batte ou une balle. Il joue pour l’équipe et l’ailier. C’est pourquoi il visite fréquemment sa famille à Parré, incluant ses sœurs Fanny et Charline, sa mère Floriane et son père. Il retrouve ses vieux amis de Vic, Castillon et des environs. Humble, travailleur et pratique, il donne le bon exemple sans perdre de vue ses racines.
Royaume de France au XVe siècle. Cinq faits sur le capitaine de la tournée australienne, Anthony Jelonch L’équipe de France de rugby débutera sa tournée en Australie demain à 12h. Le sélectionneur, Fabien Galthié, a réuni un groupe hétéroclite comprenant un nombre disproportionné de joueurs sans casque.
En l’absence (heureuse) de Charles Ollivon, le troisième-cordier du Castres Olympique Anthony Jelonch s’est vu confier le brassard de capitaine. Voici cinq choses à savoir sur cet Allemand de 24 ans. Il dirigera les Bleus en tant que capitaine pour la première fois.
Fabien Galthié a décidé de dénoncer plusieurs salles australiennes pour cette tournée (Vakatawa, Le Roux, Haouas…). Il devait également rédiger l’accord avec les clubs. Cette règle leur interdit de sélectionner des joueurs issus des deux équipes ayant disputé la dernière finale du Top 14 (Toulouse et La Rochelle).
À cela, il faut également ajouter la blessure à long terme du capitaine Charles Ollivon. Galthié l’a remplacé par Anthony Jelonch, le troisième ligne castrais, pour ce déplacement. C’était une première pour lui.
“Je ne suis pas surpris”, a déclaré Olivier Magne, qui l’a connu lorsqu’il était avec les U20 Tricolores. Les Bleus recherchent “des personnalités humbles et travailleuses, capables de donner l’exemple en actes plutôt qu’en paroles”. “C’est un taiseux, il est dans l’action”, confirme Julien Sarraute, qui l’a formé au centre de formation d’Auch. Il ne dira pas de prose fleurie,
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